Bogies porteurs:
Nous procédons au montage des deux bogies (avant et arrière). La première étape consiste à souder les paliers sur la pièce à plat.
Les freins:
Lien utile :
Montage du châssis ici.
Nous procédons au montage des deux bogies (avant et arrière). La première étape consiste à souder les paliers sur la pièce à plat.
Montage du châssis ici.
La suite de la construction de la locomotive 242 TA.
Nous avons continué l’assemblage des petites pièces qui seront montées plus tard sur le châssis. Toutes ces pièces sont collées à la colle 21 (cyanoacrylate).
Nous avons réalisé beaucoup de petites soudures car la résistance des pièces est de mise et en particulier lorsque le moteur fonctionnera entraînant inévitablement des vibrations.
La première soudure est pour un cache. Les arrondis ne facilitent pas la tâche mais nous avons trouvé un montage qui permet de réaliser les soudures intérieures sans risque que cela bouge.
Une petite vidéo pour montrer la chaîne motrice pour l'ancienne version du kit.
La construction d'un autorail est toujours intéressante car il y a souvent des variantes de celui-ci avec des livrées différentes en fonction des besoins de transport, des régions et des époques. Nous allons voir la construction de l'autorail Renault VH. Cet autorail était d'une conception simple sans être révolutionnaire et à surtout bénéficié d'un remarquable "lobbying" de la part de Renault. A l'usage, il s'est révélé plutôt efficace mais nécessitait toute une infrastructure permettant d'assurer sa maintenance. C'était la rencontre de deux mondes : l'automobile et le ferroviaire.
Biscatrain première partie ici
Biscatrain seconde partie ici
Histoire VH ici
Les modèles VH ici
Nous vous proposons de suivre la construction d'une locomotive de type 242 étape par étape au rythme qui est le notre et cela sous la forme de petites publications simples et régulières façon feuilleton.
Les versions de cette imposante machine-tender sont relativement nombreuses avec des début en 1926 pour une fin vers 1968. Elles étaient conçues pour avoir une puissance supérieure (4 cylindres compound) aux autres locomotives du trafic banlieue et leur réversibilité leur donnait un avantage pour leur exploitation. En ordre de marche, l'ensemble atteint près de 116 tonnes. La vitesse maximum en service était de 95 km/h.
Ce n'est pas la performance en vitesse qui fait l'intérêt mais plutôt sa taille imposante et le fait qu'elle est "autonome" avec ses soutes à eau et sa soute à charbon. La circulation de cette locomotive est sans doute un régal à voir sur un réseau miniature. A noter qu'il est toujours possible d'admirer un exemplaire préservé à la cité des trains à Mulhouse.
Le kit est de conception Loco-Diffusion qui est le plus ancien fabricant de kit laiton en France. La qualité des pièces est très très bonne et celles-ci sont protégées de l'oxydation par un film spécial qui se dissout dans l'alcool à brûler (entre autres). Les notices sont détaillées, étape par étape et avec des explications claires.
Les premières pièces sont dégrafées facilement car cela est prévu pour et nettoyées.
La BIG BOY américaine est tout simplement l'une des plus grandes et de plus larges des locomotives à vapeur jamais construite dans le monde!
À la fin des années trente, l'Union Pacific utilisait souvent des locomotives auxiliaires pour acheminer les trains d'Ogden, dans l'Utah, jusqu'au col escarpé de Wasatch. L'Union Pacific souhaitait simplifier ce système et chargea son propre service de développement de concevoir une nouvelle locomotive capable de tirer un train de 3600 tonnes (max. 4200 tonnes) jusqu'au col escarpé. Les 25 locomotives Big Boy furent construites en deux groupes. Le premier groupe, appelé Classe 1, a été construit en 1941. Le second, la classe 2, a été construit en 1944. Le dernier train de marchandises a été tiré par une loco Big Boy en juillet 1959. La plupart des Big Boy ont été retirées du service en 1961.
Il s'agit d'une maquette Revell au 1/87 ème et elle mesure 46,4 cm donc prévoyez de la place en vitrine!